Grâce à Wonderkids, j’ai découvert un des nouveaux jeux de cartes de la marque Minus Editions : « Tu me connais ? ». Comme vous le savez, j’adore passer des moments avec les personnes que j'aime et j’adore aussi papoter... Du coup, face à un jeu de cartes conçu pour échanger en famille ou entre amis, je n’ai pas pu résister 😊 Le jeu « Tu me connais ? » contient 25 cartes composées à chaque fois de 2 questions. Le principe est de pêcher 5 cartes chacun pour 5 minutes de jeu (ou plus si on le souhaite, évidemment) et de tenter de répondre à la place d'un autre joueur. Quand on a répondu à toutes les questions, chacun compte le nombre de bonnes réponses obtenues. Enfin, les joueurs peuvent utiliser le curseur pour savoir à quel point ils se connaissent bien. Ce que j'en pense J’ai testé le jeu dans trois contextes différents : avec ma fille de 5 ans et mon mari, avec ma fille et mes parents et avec mes collègues sur un temps de midi. Verdict... Nous avons tous apprécié !
Certaines questions concernent les goûts : « quelle est ma cuisson d’œuf préférée ? », « quelle est ma pièce préférée de la maison ? », etc. D’autres nous emmènent dans le passé : « quel était le nom de mon premier amour ? », « quel était mon premier animal de compagnie ? », etc. Plusieurs questions mettent en évidence le lien qui existe entre les personnes qui sont en train de jouer ou permettent de mettre en avant ce qu’on apprécie chez la personne : « qu’est-ce que je préfère faire avec toi ? », « qu’est-ce que j’aime le plus dans ma famille ? », etc. Les joueurs sont libres d'illustrer le propos par une anecdote (ou pas, pour les plus taiseux 😉). Je vais m’arrêter ici pour ne pas tout vous dévoiler 😉
Nous ne sommes pas vraiment passés par les étapes relatives aux points et à la position sur le curseur, nous avions surtout envie de discuter et d’en apprendre davantage sur les autres. Seule petite limite du jeu : une fois que vous avez parcouru l’ensemble des cartes avec une personne, vous connaissez les réponses, il n'y a donc plus vraiment d'intérêt à refaire une partie. Par contre, il peut être utilisé avec plein de personnes différentes et à de multiples occasions, ce qui est vraiment chouette. Aussi, j’aime l’idée donnée par la vendeuse de Wonderkids de mixer les 3 jeux de cartes de la série pour varier le style d’interactions et les sujets de discussion. Témoignages Avis de ma maman : "Chouette jeu qui fournit de belles occasions, en famille ou entre amis, de se mettre à la place de l’autre et de mieux se connaître !". Avis d'une amie qui a testé le jeu avec ses garçons de 9 et 11 ans : "Grâce au jeu, on en apprend plus sur ses enfants et ça donne lieu à de chouettes discussions en famille. Pour ceux qui n'aiment pas trop parler d'eux-mêmes, le jeu permet de donner des infos sans être intrusif. Bref, c'était marrant, on a vite compris qu'on ne se connait pas toujours si bien que ça. Dommage qu'on fasse vite le tour des questions, on en voudrait encore !" Mes trois collègues ont toutes vraiment apprécié notre petit moment de complicité autour du jeu. Nous avons appris des choses les unes sur les autres et nous avons bien rigolé (ce n'est pas compliqué avec ce quatuor, je dois dire 😍). Tu voudrais en savoir plus sur Minus Editions ? Minus Editions est une marque française qui se soucie de l’environnement : elle utilise des encres végétales et du papier issu de forêts labellisées FSC et imprime ses produits en France. « C’est de l’envie de favoriser l’échange entre les enfants et les adultes qu’est née l’idée de Minus ! Des objets ludiques et futés qu’on embarque partout pour profiter de ces instants furtifs et échanger avec nos petites têtes blondes (ou brunes !). Pour cela, nous pensons nos Minus avec un souci en tête : capter l’attention des enfants pour éveiller leur curiosité et accrocher l’adulte pour qu’il donne volontiers de son temps si précieux ! » Il existe de nombreux livres et cahiers Minus Editions créés dans le même objectif de créer du lien. J’ai reçu le livre à compléter « Telle mère, telle fille ? » à la naissance de Chloé, j’attends qu’elle grandisse encore un peu pour me plonger dedans avec elle. D’ici 1 an ou 2, je l’imagine bien compléter le livre « papi, mamie et moi » le mercredi après-midi avec l’une ou l’autre de ses grands-mères (💡idée de cadeau pour les grands-parents, à ajouter à côté des affiches Rosemood dont je vous ai déjà parlé sur Facebook et Insta). Minus Editions propose aussi d’autres jeux de cartes. J’ai très envie de découvrir la boîte « Au lit » pour des moments complices et rigolos avant le dodo ou « En route » lors de nos trajets en voiture vers différentes aventures (comme le camping prévu cet été, vous vous souvenez ?). Qué dis, tu ne connais pas encore Wonderkids ? Il s’agit d’une boutique carolo hyper craquante dont je vous ai déjà parlé dans plusieurs articles, notamment pour ses super trottinettes « Micro » et ses poupées « Paola Reina » qui sentent bon la vanille (je vous en parlais ici). Vous pouvez y trouver de nombreux articles de puériculture, de la déco, des jouets, des lunettes de soleil Izipizi (mes kids adorent), des pantoufles Collégien, des cartables… Si vous aimez les livres, je vous recommande une petite virée pour (re)découvrir Wonderkids et la (graaaande) librairie Molière qui se trouve juste en face, que du plaisir en perspective !
2 Commentaires
En créant ce blog, je n'imaginais pas vous parler de livres destinés aux parents. Et pourtant… J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce bouquin, j’ai donc eu envie de vous en livrer un résumé (tout à fait subjectif, bien sûr). A mon sens, il s'agit d'un "must have" à glisser dans toutes les bibliothèques des parents ayant plusieurs enfants. Lorsque j’ai découvert ce livre, je m’interrogeais sur la relation qui se construisait entre mes enfants parce que leur entente n’était pas… flagrante, disons 😉 Ils se chamaillaient beaucoup (jusque-là, c’est classique me direz-vous) mais ils se disaient aussi, très sérieusement et régulièrement, qu’ils ne s’aimaient pas. A 2 ans et 4 ans, c’est un peu interpellant et clairement, ce n’est pas ce dont on rêve pour sa famille. Et puis surtout, je ne savais pas comment réagir… Faire semblant de ne pas avoir entendu ? Leur expliquer qu'on ne peut pas dire ça à son frère ou à sa sœur ? Dire à l'autre enfant que celui qui a dit "je ne t'aime pas" ne le pense pas ? Je n'étais à l'aise avec aucune de ces options. Et puis j'ai lu "Frères et sœurs sans rivalité. Manuel de survie pour une famille plus sereine !" d'Adele Faber et Elaine Mazlish aux Editions du Phare. 😊 Les auteures nous livrent des pistes, sous formes de bandes dessinées notamment, pour une vie de famille plus harmonieuse ainsi que de nombreux dialogues et témoignages issus d’ateliers animés avec des parents en quête de solutions pour régler les disputes fréquentes et parfois violentes de leurs enfants. Les auteures expliquent les habiletés que les parents peuvent développer pour atténuer la rivalité entre frères et sœurs. C’est facile à mettre en pratique et les exemples donnés sont assez bluffants ! Au-delà de l’éclairage qu’il apporte sur nos enfants, vous verrez que le livre permet aussi, pour ceux que cela intéresse, de mettre des mots sur sa propre enfance (le rôle que l’on nous a donné ou que nous avons nous-même choisi parfois) et de mieux comprendre nos relations actuelles avec nos frères et sœurs. Le texte est vivant, super agréable à lire, très enrichissant et les conseils donnés sont concrets. Petit bonus : chaque chapitre est résumé dans un mémo. Les auteures ont vraiment pensé à tout ! Voici, en résumé, ce que j’en retiens… 1. Les frères et sœurs ont le droit de ne pas s'aimer* ! * Y a plus qu'à digérer l'info 😉 C’est vrai après tout, ils n’ont (souvent) rien demandé et ne se sont pas choisis. Pourquoi devraient-ils donc s’aimer ? Première mission pour les parents : mettre de côté notre rêve de la famille idéale où tout le monde s’entend à merveille. Cela arrivera peut-être mais peut-être pas. C’est comme ça. Cette première information avait déjà changé mon regard sur la situation. « Un des plus beaux jours de ma vie a été celui où j’ai renoncé à mon rêve d’en (ses deux fils) faire de bons amis et où j’ai décidé d’opter pour un objectif plus réaliste. (…) j’ai cherché à leur transmettre les attitudes et compétences nécessaires à toute relation affective. (…) Même si leurs personnalités ne leur permettaient pas d’être amis, ils seraient au moins capables de se faire des amis et d’être l’ami de quelqu’un. » (p. 32-33) 2. Les enfants ont le droit d’exprimer de la colère vis-à-vis de leur(s) frère(s) et sœur(s), à nous de leur donner les moyens d’y parvenir sans faire de mal aux autres Il s’agit en d'autres mots d’être à l’écoute des émotions de nos enfants, ce que l’on fait en temps normal (on essaie, du moins) mais qu’on parvient plus difficilement à mettre en œuvre lorsqu’il s’agit d’émotions négatives vis-à-vis d’un autre membre de la fratrie. Pourquoi a-t-on tendance à nier ces émotions ? Probablement parce qu’elles nous mettent mal à l’aise, nous rendent tristes, parce qu’elles ébranlent notre vision de la fratrie soudée. Les auteurs nous conseillent de prendre le temps pour écouter chaque enfant et reformuler ce qu’ils expriment, ce qu’ils voudraient (même si c’est impossible, comme ne pas avoir de frère ou de sœur). Souvent, le simple fait d’être entendus et reconnus dans leurs émotions les apaise. Ils n’ont pas nécessairement besoin qu’on donne des justifications ni qu’on leur propose des solutions. On peut inviter les enfants à exprimer leur ressenti de façon créative, par le dessin notamment. Vous vous rappelez de la colère de Chloé que j’avais postée sur Facebook ? Un jour, alors qu'elle était en pleine crise, j'avais proposé à Chloé de dessiner sa colère. Elle avait vachement accroché ! Je me suis installée près d'elle et je lui soufflais des idées, la fumée qui sort des oreilles par exemple, ou encore les bulles avec ce qu'elle avait envie de dire, ce qui lui ferait du bien. Un fois le dessin terminé, elle avait déjà oublié les causes de sa colère ! Les insultes et les coups ne peuvent pas être tolérés évidemment, même si c’est pour exprimer ses sentiments. 3. La comparaison est à éviter au maximum. Essayons de développer la coopération plutôt que la compétition ! Le maître mot est « décrire » ! Décrire ce que l’on voit de nos enfants, ce qu’on aime, ou ce qu'on aime moins dans leurs comportements, ce que l’on voudrait qui soit fait. Et se concentrer sur l’enfant dont il est question à ce moment précis en évitant des phrases du genre "mais enfin, ta sœur est toujours prête à l'heure et toi, tu traînes, ce n'est pas possible !". « Le plus important, c’est de m’en tenir à la situation liée au comportement de l’enfant en ma présence. Il n’y a rien que l’autre enfant ferait ou omettrait de faire qui concerne cet enfant-ci dans le moment présent. » (p.75-76) Les auteures suggèrent de ne pas comparer les enfants ni de trop complimenter un enfant quand les autres sont présents. Cela risque d’envoyer un message négatif à ceux qui ne sont pas complimentés. « Mieux vaut réserver la passion et la joie ressenties face au succès d’un enfant quand vous êtes tous les deux. » (p. 80) 4. Il ne s’agit pas d’être juste à tout prix envers ses enfants mais de (tenter de) donner à chacun ce dont il a besoin. Les auteures nous encouragent à traiter chacun de nos enfants comme des êtres uniques qui n’ont donc pas les mêmes besoins. Ça semble bête mais prenons l’exemple des cadeaux ou simplement des petites attentions. Il est vrai que lorsqu’on achète quelque chose pour un de ses enfants (un vêtement, un livre, ou autre), on se sent coupable de ne rien apporter à l’autre enfant. Alors parfois, on achète aussi quelque chose pour l’autre, uniquement pour être juste. Pourtant, ils n’ont pas les mêmes besoins au même moment et on peut le leur expliquer. On peut également reconnaître ce qu’ils éprouvent quand ils ne reçoivent rien (par exemple « tu sais pourquoi j’ai acheté cela pour x et tu sais que tu n’en as pas besoin mais malgré tout, je peux comprendre que cela te dérange ou que tu sois déçu(e)»). Répartir son temps en fonction des besoins de chacun n’est pas une mince affaire non plus. Un mercredi, en fin de journée, Chloé m’a dit « maman, tu es toujours avec Robin ! » alors que pendant la sieste de celui-ci, nous avions passé 2 heures rien qu’à deux, à bricoler notamment. Mais il faut croire qu’au moment où elle l’a dit, elle avait besoin d’attention de ma part et pas d'une réaction du style "mais Chloé, nous avons passé 2 heures ensemble alors que je ne suis avec Robin que depuis x minutes, tu exagères". « En valorisant ce que chaque enfant a de particulier et en étant partisan de son individualité, nous nous assurons que chacun de nos enfants se sente irremplaçable. » (p.102) Cela me fait penser au livre pour enfants « Vous êtes tous mes préférés » que je vous avais brièvement présenté à la fin de cet article. 5. Nous avons tendance à enfermer les enfants dans des rôles. Libérons-les au maximum de ce poids ! Chloé est « la créative de la famille » alors que Robin est « le futur musicien » ! Naturellement, nous avons tendance à mettre des étiquettes sur nos enfants. Quand on met en évidence les choses qu’ils font bien et qu’ils apprécient, on s’imagine que ça ne peut pas faire de tort. Que du contraire, cela contribue à ce que chacun se sente spécial… Alors où est le mal ? Les auteures l’expliquent bien (et comme d’habitude, le propos est appuyé par de nombreux témoignages) : si un enfant est « le musicien », l’autre n’osera peut-être jamais toucher un instrument de sa vie, ce domaine étant déjà « réservé ». Quant au « créatif » dont on complimente toujours les réalisations, sans le vouloir, il empêchera peut-être ses frères et sœurs d’exprimer leur propre créativité. Si un rôle est déjà pris dans la fratrie, l’autre enfant cherchera un autre rôle, parfois dans l’opposition. Si un enfant est particulièrement brillant, l’autre cherchera peut-être à se faire remarquer dans le domaine de la "médiocrité". Si un enfant est « un amour, une crème, un charme », l’autre ne trouvera peut-être sa place que dans la "méchanceté". Bonne nouvelle, les parents, nous avons « le pouvoir d’aider nos enfants à se libérer de la prison de leurs rôles rigides. » Le challenge réside notamment dans le fait de parvenir à les regarder avec des yeux neufs ! « Nous devons aussi préparer nos enfants à ce qui les attend à l’extérieur de la famille. Et la vie nous demande d’assumer plusieurs rôles. Nous devons savoir comment nous occuper des autres et comment laisser les autres prendre soin de nous ; comment être des meneurs et des suiveurs ; comment être sérieux et un peu foufou ; comment vivre dans le désordre et comment mettre de l’ordre. Pourquoi devrait-on limiter l’un de nos enfants ? Pourquoi ne pas tous les encourager à saisir leurs chances, explorer leur potentiel, découvrir en eux des forces qu’ils n’avaient jamais crues possibles. » (p. 118) Dans ce chapitre consacré aux rôles, les auteures abordent les fratries dans lesquelles il y a clairement « un bourreau » et « une victime » et donnent des pistes pour aider les enfants à sortir de ces rôles destructeurs, par exemple en les regardant comme nous aimerions qu’ils deviennent et non comme ils sont à cette période de leur vie (« faible » ou « fort »). Toujours en lien avec les rôles, le passage relatif à l’ordre de naissance des enfants a retenu mon attention. « Une des choses les plus susceptibles de créer de profonds ressentiments entre frères et sœurs, c’est lorsque les parents leur demandent toujours de jouer un rôle lié à leur position dans la famille. C’est impossible d’inverser leur ordre de naissance mais on ne doit pas non plus leur faire jouer indéfiniment un rôle en fonction de cette position dans la constellation familiale. » Avant, j’utilisais les expressions « petit frère » et « grande sœur ». Pas à tout bout de champ mais cela m’arrivait et ne me posait pas question, je trouvais même cela mignon. Lors d’une discussion, une amie m’a fait remarquer que pour éviter d’introduire un déséquilibre dans leur relation, je ferais sans doute mieux de les appeler par leur prénom, tout simplement. Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt ? C’est déjà une manière toute simple de reconnaître que nos enfants sont uniques et tous aussi importants à nos yeux. Charlotte Ducharme de « Cool parents make happy kids » va dans le même sens : dans cet article, elle suggère d’encourager nos enfants à former une équipe, à veiller les uns sur les autres, sans les enfermer dans un rôle de petit ou de grand. 6. Encourageons la communication entre frères et sœurs et faisons-leur confiance : très souvent, ils sont capables de trouver eux-mêmes des solutions à leurs problèmes Dans ce chapitre, les auteures abordent les disputes entre frères et sœurs, de la simple chamaillerie au véritable conflit potentiellement dangereux voire carrément dangereux. Le principe de base, pour nous parents, est d’intervenir le moins possible et si notre intervention est nécessaire, il ne faut pas prendre parti mais plutôt décrire ce que l'on voit et encourager les enfants à exprimer leur ressenti et à communiquer pour trouver eux-mêmes des solutions OK pour tous (plutôt que de subir une sentence arbitraire). Ces derniers temps, je n'arrête pas de m'exercer aux habiletés présentées dans ce chapitre, avec plus ou moins de "self control" 😜 Et vous savez quoi ? La plupart du temps, cela fonctionne ! Les BD et le mémo sont chaque fois très parlants, la sélection est donc difficile. Foncez chercher le livre à la librairie, dans un magasin de seconde main ou à la bibliothèque pour les découvrir tous 😉 En bref J’ai beaucoup aimé ce livre très inspirant, qui se dévore comme un roman. Je suis sûre que je m’y replongerai à plusieurs reprises, au fur et à mesure de l’évolution des enfants… A offrir à des parents qui attendent un deuxième enfant, par exemple. Je me réjouis de lire « Parler pour que les enfants écoutent. Ecouter pour que les enfants parlent » des mêmes auteures. Il décore ma bibliothèque depuis déjà quelques années ! Vous vous souvenez, dans mon article sur les bonnes résolutions, je parlais de ces livres qu’on achète et puis qui restent sur la table de nuit… A vrai dire je suis une experte en la matière 😅 Et vous, quel est votre livre coup de cœur en matière de parentalité ? Ou dites-moi quel livre prend la poussière en attendant que vous daigniez vous plonger dedans 😉
Belle journée ! |
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Octobre 2021
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